Le vase Ming qui s’inspire des vases « bleu et blanc » de la dynastie de Ming interroge sur l’utilité d’un décor. Ces céramiques sont souvent exposées comme éléments décoratifs. Dans le cas de Ming, l’objet neutre à l’extérieur appel à la curiosité de part le décor que l’on voit dépasser du col du vase et qui parait encore plus précieux, car confiné. Mais lorsque ce vase reprend sa fonction première de réceptacle, le décor est masqué, le vase devient un objet commun, ne laissant apparaître ses origines qu’à travers sa silhouette.
Vase réalisé en collaboration avec le céramiste Alexandre Ortega et la peintre sur céramique Martine Brossier.
Faïence blanche – 27 × 40 cm.
Le vase Ming qui s’inspire des vases « bleu et blanc » de la dynastie de Ming interroge sur l’utilité d’un décor. Ces céramiques sont souvent exposées comme éléments décoratifs. Dans le cas de Ming, l’objet neutre à l’extérieur appel à la curiosité de part le décor que l’on voit dépasser du col du vase et qui parait encore plus précieux, car confiné. Mais lorsque ce vase reprend sa fonction première de réceptacle, le décor est masqué, le vase devient un objet commun, ne laissant apparaître ses origines qu’à travers sa silhouette.
Vase réalisé en collaboration avec le céramiste Alexandre Ortega et la peintre sur céramique Martine Brossier.
Faïence blanche – 27 × 40 cm.